Rock on my Majesty, Tome
1, Marie H. - J. (Autoédition, 09/2023)
C’est parce
que j’aime le genre musical du Metal que j’ai eu envie de lire cette romance
qui fait parler d’elle sur Instagram. Le fait qu’il y ait une touche d’humour
et un personnage largement et librement inspiré par le chanteur Axl Rose du
célèbre groupe Guns N’ Roses m’a totalement convaincue. Sex, Drugs and Rock n
Roll !!!
« Un peu comme tout notre royaume,
finalement. Nous l'avons laissé tomber dans l'oubli, prendre la poussière.
Solution facile et réconfortante, éliminant pas mal de risques de chute ou de choc,
mais qui ne produit comme effet que l'enterrement et une petite mort
silencieuse. » Royaume de
Verdens Ende ; on est vieux- jeu, on respecte les convenances et
« l’étiquette », au grand dam du prince Hallstein Pedersen de Raspen.
Ce dernier, pour relancer l’économie du royaume, a une idée de génie en tant
que fan incontesté de Metal rock : y organiser un Heavy Fest !
« Mécaniquement, je lève les yeux vers la
scène pour y apercevoir un type, blond, moulé dans un pantalon de cuir, son
torse nu éclairé par quelques projecteurs. Axel White. Il approche du bord et
attrape le micro devant lui dans une attitude féline, langoureuse et on ne peut
plus sexy. » Notre prince
se déplace incognito dans les allées du festival, surveillé par sa garde
rapprochée, afin de profiter à fond des groupes qu’il a invités. Sauf qu’il ne
s’attendait pas à tomber sous le charme de la tête d’affiche des
concerts : Axel White. Ce chanteur et musicien extravagant, parfois
vulgaire et toujours imprévisible va bien tourmenter le quotidien de notre tête
couronnée.
« Encore et toujours ce "mais"
qui guide ma vie... » Si le coup
de foudre entre le seigneur du royaume et le seigneur du rock ne fait aucun
doute, il y a toujours les obligations de l’un qui mécontentent l’autre.
Comment s’accorder ?
Au final, j’avoue avoir été décontenancée par
le début de l’histoire ; le personnage d’Axel White m’a paru caricatural,
avec ses diverses addictions et son langage cru. Et pourtant, malgré cela, je
tournais les pages, curieuse d’en découvrir plus sur l’univers imaginé par l’auteure :
quoi ? Un festival de Metal chez des têtes couronnées ? Il en fallait
de l’imagination, en plus d’une bonne dose de crédibilité. Et puis c’est l’humour
qui m’a eue. J’ai souri et ri à la lecture de certains passages ; ce qui
en fait une lecture que je ne pense pas oublier de sitôt. Je pense même me
pencher sur le tome 2….
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