Le Nom de la rose, tome 1, , Milo Manara & Umberto Eco (Glénat, 09/2023)
💓💓💓💓💓
Ah, « Le Nom de la rose » ! J’ai
longtemps envisagé de lire le roman, j’ai vu le film un bon nombre de fois au
point de connaître certaines répliques par cœur ; alors quand j’ai vu son
adaptation en BD, je me suis ruée dessus !
« Au commencement était le verbe et le verbe était Dieu.
Arrivé au terme de ma vie de pêcheur, tandis que chenu, vieilli comme le monde.
Désormais retenu par mon corps lourd et malade dans cette cellule de mon cher
monastère de Melk, je m'apprête à laisser sur ce vélin témoignage des
événements admirables et terribles auxquels dans ma jeunesse il me fut donné
d'assister, vers la fin de l'année du seigneur 1327. » J’ai aimé
les explications du début de la BD : la découverte d’un manuscrit par
Umberto Eco et la reprise des mots d’Adso de Melk, annonçant son projet.
« Les voies de l'Antéchrist sont lentes et tortueuses.
Il arrive ! Ne perdez pas les derniers jours à rire sur les avortons à la queue
boudinée ! Ne dissipez pas les sept derniers jours ! » Le jeune Adso a la chance d’être le serviteur d’un Maître perspicace
et généreux. Une réputation trouble le précède, et pourtant, il est respecté,
voire craint, par les hommes de foi de l’abbaye bénédictine dans laquelle il
vient résoudre une enquête : des moines y trouvent la mort. Est- ce l’œuvre
du Diable ?
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