Les noces mécaniques, Marie Kneib (Plume blanche, 04/2020)
Je ressors de ce roman "Steam punk" assez mitigée,
je dois le dire…
Pourtant, tout avait bien commencé ; une
plume dynamique, des personnages charismatiques, de l’originalité dans l’univers
créé, de l’humour dans certaines répliques, et puis les pages ont tourné, et la
lassitude s’est installée…
« Quoi, tu n'as jamais vu d'entrée théâtrale ? Enfin, je suppose
que tout le monde ne peut avoir un quotidien aussi trépidant que le mien.
Désolée, ma belle, mais je ne peux pas rester, j'ai quelqu'un à poursuivre. »
La jeune Clara voit son mariage anéanti par l’intervention d’un
détective farfelu nommé Octavius. Issue d’une famille de notables, et alors qu’elle
avait réussi à faire accepter à sa famille le fait qu’elle désirait épouser d’amour
Wilhelm, un artiste peintre désargenté, voilà que la jeune femme se retrouve
dans l’obligation d’épouser l’illustre inconnu qui vient d’interrompre la
cérémonie, sous peine de déséquilibrer l’énergie de la ville de Néacity. Et voici
qu’aussitôt les consentements échangés, Octavius prend la fuite ! Clara,
au tempérament tout feu tout flamme, ne l’entend pas de cette oreille et file à
sa poursuite, courant comme une échevelée dans les rues de la ville, écrasant des
pieds et distribuant des gifles aux gens qui se mettent sur son passage en
espérant la raisonner. Vont s’ensuivre
toute une série de mésaventures, liées à la découverte de terribles secrets et
dont ils ne se sortiront indemnes qu’avec l’aide d’un journaliste habile en
camouflage, Felice, et une sorcière bien arrangeante, Camellia.
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