samedi 26 septembre 2020

Orgueil et préjugés, Jane Austen (1813)

 


Orgueil et préjugés, Jane Austen (1813)

💛

Voilà des années que l’on me répète qu’il faut que je lise ce classique de la littérature sentimentale anglaise. Je m’y suis donc plongée à l’occasion d’un challenge de lecture étant donné qu’il correspondait parfaitement avec l’un des éléments proposés.

Malheureusement, on ne peut pas dire que le charme ait opéré sur moi…

 

« Le bonheur, dans le mariage, n'est que l'effet du hasard : les personnes ont beau sympathiser avant de se marier, elles changent toujours trop tôt, et selon moi, il est bon de connaître aussi peu que possible les défauts de celui avec lequel vous devez passer votre vie. » Je reconnais bien volontiers que ce genre de réflexions qui ponctuent le récit m’ont fait sourire. J’adore la dérision. Mais dans le cas présent, c’est bien la seule chose qui m’a permis de lire (mais de manière poussive) les 105 premières pages du roman. Au- delà, c’en était de trop.

J’ai trouvé le style ampoulé, vieillot, avec des phrases qu’il faut lire trois fois pour se rendre compte qu’elles expriment le contraire de ce que l’on avait compris à la première lecture.

 

Peut- être n’était- ce pas le bon moment ? En tout cas, le rendez- vous a été manqué. Je ne saurai jamais si Elizabeth a choisi Darcy ou Wickham, mais franchement, il y a plus important dans la vie ; non ?

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